tourne tourne petit oiseau (8) - PV. LIBRE

J'étais en train de me balader dans les couloirs de Poudlard, avec mon livre d'Arithmancie à la main. Je savais que quelque chose clochait, Rusard ne veillait pas. Je m'approcha donc de la grande salle et entendu des voix expliquant qu'il fallait se rendre au plus vite dans le parc pour y ceuillir des champignons. C'était complètement insencé. Ceuillir des champignons ? Je vis alors, un homme sortir de la salle en se dirigeant vers l'entrée du château. Je le suivi lentement car je voulais découvrir le mystère des champignons. Il sortit donc, du château et se dirigea d'un pas décidé vers le parc. Je le suivit lentement, quand je vis qu'il changea de direction, et s'appreta à aller vers la forêt interdite. Tout le monde le sais, l'accès est interdit aux élèves. Je m'arreta un moment, puis pris la direction du lac. Je regardais les oiseaux volaient quand soudain, une fille me rentra dedans. Je tomba sur le sol mais pu me relever facilement, au contraire de la fille. Je me pencha vers elle et lui murmura :

« Rien de cassé ? Je ... je suis désolée, je n'ai pas fait exprès. »

Quand je vis que Ginny (je l'avais reconnu) repris connaissance, j'excissa un sourire du coin des lèvres. Elle me sourit à son tour et me salua gentiment. Je lui répondit la même chose et l'aida à se relever tandis qu'elle regardait avec interet le livre que je tenais encore à la main. Je la vie me regarder encore et cette fois ci, elle me posa la question que je redoutais le plus, "Que fais-tu ici ?". Je ne voulais pas lui avouer que j'essayer de suivre un homme, et pour savoir le mystère des champignons. Ma réputation serais perdue. Je me contenta de lui répondre en un mensonge.

« Moi ? Et bien... euh... J'avais la folle envie de me promener, oui c'est ça, me promener ! Tu sais c'est toujours bien de prendre l'air ! N'est-ce pas ? »

Je la regardais, incrédule. Hermione Granger avait une grande envie de se promener ? Cette Hermione Granger devenait-elle folle ? Je ne pus m'empêcher d'exploser de rire et de la regarder. Hermione était une fille qui était connue pour son côté : je connais tout sur tout, mais evidemment il ne fallait pas se fier à ça. Connaissant la jeune fille, je pouvais affirmer que Mione était une fille douce et gentille, pleine de vitalité mais ... trop intelligente.

« Tu te fiches de moi, n'es-ce pas ? »

Ginny s'était pouffé de rire. Je la regardait d'un air bizarre. Qu'avait-elle a rire ? Je savais qu'elle avait découvert mon secret mais impossible d'avouer la vérité. Je senti rougir mes joues. Je les cacha rapidement en faisant comme si elles me grattait. Je lui sourit gentiment mais rien à faire, elle ne me croyait pas. Je chercha vite dans ma tête que faire dans cette situation... Mais je ne trouva pas. Je ferma les yeux d'un coup sec et la regarda encore une fois. Elle me dévisageait toujours. Je commençait à stresser, je ne voulais absolument pas qu'elle sache pourquoi j'étais là. Je me força donc à insister sur mon mensonge.

« Pourquoi dis-tu ça ? C'est pourtant la vérité ! »

Ginny avait raison, je jouais la comédie. Mais que lui dire. Elle voulait tout savoir. Je me décida à lui avouer la vérité quand j'eus une idée de génie. Oui, pourquoi ne pas avouer un autre mensonge ? Elle n'en saura rien. Il faudra simplement que je sois crédible. Donc, je baissa les yeux tandis qu'elle me parlait. Une fois terminé, je les releva et pri mon souffle pour parler. Je ne ria pas, je baissais les yeux en tenant mes doigts entrelacés pour faire un air embarrassé. Je pris soudainement la parole et m'exprima d'une toute petite voix.

« Oui, tu as raison. A la base j'étais ici pour chercher des plantes, j'avais un devoir de Botanique, et Professeur Chourave m'a demandé de faire un devoir sur une plante dont je ne me souviens plus du nom. J'avais honte de le dire, tu m'aurais encore traité de Miss-je-sais-tout ! »